Trieste
Après 120 km que mon Ludo croyait ne jamais pouvoir faire, nous arrivons d'abord au bord de la mer, où les silhouettes de cargos laissent presager l'approche d'un grand port...
...puis à ce point de vue que l'on appelle Miramare, dont je laisse aux plus sagaces deviner la signification...
Et voilà il molle de Trieste, cette jetée accollée au centre ville où tout le monde traîne à un moment ou à un autre...
Et voila notre colloc de folie, ou vivent en symbiose : Sergio, Barbara, Paula
...encore Barbara, notre contact www.hospitalityclub.org, grazie mille, ragazza, ha statto molto bello incontrarvi, spero tornare avostra casa...
...Davide, son copain, ici à côté de Ludo qui ricane dans son coin et dans sa barbe...
..et les invités d'un soir qui auront la chance de goûter la spigola à la crème de poireaux, lumineuse idée de Ludo... Jelena, Giulia, Silvia, Angela...
...encore Jelena, la Croate, Ruth la Mexicaine et Silvio.
Comble du luxe : Sergio, Portugais de son état, est virtuose de guitare, ce qui met une ambiance particulièrement douce dans les fins de soirée...
Côté historique, le camp de la Rizera, construit et exploité par les allemands lors de la seconde guerre mondiale. Une chambre à gaz et un four crématoire y ont même fonctionnés peu de temps. Le seul camp d'extermination de l'Italie, dont la particularité assez glaçante est qu'il se fond dans l'environnement de la zone industrielle, au sein même de la ville.
Entrée gratuite, ouvert tout le temps, à voir.